Partie VII - Cohérence grand nonagone   Chapitre L - Troisième Etoile   Edern - Ferrassières   

Edern - Ferrassières

Cette diagonale se place sous les auspices de saint Jean-Baptiste, sainte Catherine, la Vierge et saint Martin.

Réglons son compte à Martin (avec les églises d' Alleyrac, Ubrieux (Le Buis-les-Baronnies), Saint-Martin-de-Fugères, Le Brignon, Larodde, Sornac, Saint-Martin-Château, Saint-Martin-Sainte-Catherine, Queaux, Gizay, Noyal-Muzillac) grand admirateur de saint Jean-Baptiste qui voulu imiter son exemple dans la frugalité et l'austérité (voir Diagionale Vieille-Chapelle - Ferrassières).

Son comparse Hilaire est honoré à Adriers.

Le trio saint Jean Baptiste, sainte Catherine et la sainte Vierge laisse entrevoir un fond gnostique qui a abreuvé les légendes hagiographiques des saints comme La Légende dorée de Voragine.

Saint Jean fréquente les églises d' Allan, Massiac, Saint-Setiers, Darnac, La Villedieu-du-Clain, Bressuire, Missilac, les chapelles de Valréas, Ollon, Le Pallet, Plescop (ancienne), Scaër (ancienne), et est représenté en statues à La Jonchère-Saint-Maurice, Noyal-Muzillac, et Nantes en tableau.

Sainte Catherine d'Alexandrie est présente en la chapelle de Montbrun (Saint-Gineys-en-Coiron), le prieuré de Saint-Martin-Sainte-Catherine, la commanderie templière de Nantes, une église à Malville, un prieuré à Queaux, et à Bressuire, une chapelle de Bouresse, et des statues à Coray et Edern (chapelle Saint-Symphorien et chapelle Notre-Dame de Hellen).

La Vierge apparaît en Assomption dans les églises d' Aubignas, Freyssenet, Lavoûte-Chilhac, Anzat-le-Luguet, et dans un tableau de Noyal-Muzillac, en Notre-Dame dans les églises de Montbrun-les-Bains, Laurie, Bouresse, La Peyratte, Le Buis-les-Baronnies, Valréas, dans une chapelle de Saint-Avé et l'abbaye d'Aiguebelle à Montjoyer L'Immaculé Conception est vénérée à Saint-Rémy et à Sornac.

Deux Vierges noires rayonnent sur cette diagonale : Laurie, et celle de la chapelle Saint-Abibon à Languidic.

Représentation du quatuor

Les trois figures, avec Jésus, sont rassemblées dans quelques œuvres :

La Vierge et l'Enfant avec sainte Catherine, saint Augustin, saint Marc et saint Jean-Baptiste du Tintoret (Jacopo Robusti) (Venise, 1518 - 1594) présente l'enfant Jésus tendant la main droite pour bénir sainte Catherine, agenouillée devant lui. Autour d'elle se pressent trois saints : Jean-Baptiste, drapé dans sa tunique en poils de chameau, Marc avec son attribut, le lion, et Augustin, évêque d'Hippone. Sainte Catherine, portant le manteau des doges de Venise, camouflerait le doge Francesco Donà, Tintoret ayant échoué à gagner une commande de la ville de Venise ;

Saint Jean Baptiste, le mariage mystique de sainte Catherine et saint Dominique de Niccolo di Tommaso (1343 - 1376) au Musée Fesch d'Ajaccio ; Saint Jean-Baptiste et Sainte Catherine d'Alexandrie de Paolo Veneziano vers 1350 ; La Vierge et l'Enfant avec saint Jean Baptiste, sainte Élisabeth et sainte Catherine d'Alexandrie, dans le style de Bonifazio, vers 1530-1535 (National Gallery, Londres) ;

Saint Jean-Baptiste, sainte Catherine d'Alexandrie, Jésus-Christ, la sainte Vierge du Pérugin vers 1500 ; Le Triptyque du mariage mystique de sainte Catherine ou encore le Retable des deux saints Jean, de Hans Memling (1479) (Memlingmuseum, Sint Janhospitaal, Bruges) ;

Madone à l'Enfant entourée de saint Jean-Baptiste enfant, de sainte Catherine d'Alexandrie et d'autres saints d'Andrea Mantegna et collaborateur (Galleria Sabauda, Turin) ;

Mariage mystique de sainte Catherine avec saint Jean- Baptiste de Verona Maffeo (1576-1618) (Musée des Beaux-Arts, Nantes) :

A Istambul, l'église Saint-Jean-Baptiste, Metochion du Mont-Sinaï, dépend du patriarcat de Sainte-Catherine du Sinaï. Elle date de 1730, mais a remplacé un autre bâtiment détruit par l'incendie du quartier et dont les origines remontent à 1334. Elle est peu utilisée, mais le 25 novembre, jour de la Sainte- Catherine, elle accueille une grande affluence.

A Dijon, le portail de la chapelle de la Chartreuse de Champmol est ornée des figures de duc Philippe le Hardi et Saint Jean Baptiste, son patron, et la duchesse Marguerite de Flandres avec Sainte Catherine d'Alexandrie, sa patronne.

Mariage mystique

Sainte Catherine préféra le mariage avec le Christ à celui que lui proposait pour son compte l'empereur Maximien.

L'Epoux est en possession de l'Epouse, et c'est Jean-Baptiste qui lui a préparé les voies, ainsi que le rappelle l'Antienne de la Communion. Jean joue le rôle de l' " ami de l'Epoux ", ou paranymphe, dont Dieu joua le rôle entre Eve et Adam. " Celui qui a l'épouse est l'époux ; quant à l'ami de l'époux, il se tient là, il l'écoute, et la voix de l'époux le comble de joie. Telle est ma joie, elle est parfaite. " (Jean 3, 27-30)

Le dit de Jésus qu'on lit en Marc 2:19a évoquait sur le mode allégorique la visite eschatologique de Dieu à son peuple en empruntant à l'Ancien Testament le thème des noces de Yahvé et d'Israël. Comme lui, il a été complété dans la tradition chrétienne pour s'appliquer à l'union du Christ et de l'Eglise. Sous cette forme amplifiée, il a fourni à l'auteur du quatrième Evangile les thèmes dont celui-ci a tiré le surprenant récit des Noces de Cana dont saint Arcons reproduit à l'envers le miracle (Saint-Arcons-d’Allier) (voir http://cat.inist.fr.

Les Grecs appellent paranymphes, ceux qui, selon la coutume, conduisaient l'épouse dans la maison de son mari ; ils donnaient le nom de nymphes aux épousées. Les Romains qui observaient la même cérémonie dans la conduite de l'épousée, appelaient pronubus, le conducteur, et pronuba, si c'était une femme. Pline et Virgile nous apprennent que l'épouse étant arrivée à la porte de la maison, les parents et le mari jetaient des noix, consacrées à Jupiter, aux enfants qui accouraient dans la rue. Les rabbins disent que le principal devoir du paranymphe parmi les Israélites, était d'observer que l'époux et l'épouse ne se fissent aucune fraude dans ce qui regarde le sang qui était la marque de la virginité de l'épouse. Quelques-uns ont crû que l'architriclinus, dont il est parlé dans l'Evangile à l'occasion des noces de Cana, n'était autre que le paranymphe.

Le nom de paranymphe est commun dans l'histoire bysantine, pour signifier l'officier chargé par l'empereur de conduire et remettre les princesses impériales mariées à quelque prince étranger, sur les terres ou entre les mains de leur époux. Grégoire de Tours donne le nom de paranymphe au duc Bobon, qui fut chargé de conduire en Espagne la princesse Rigunthe, fille de Chilpéric Ier mariée au roi des Visigoths. On donnait le nom de paranymphes dans les écoles de théologie de Paris, dont l'Université était placée sous le patronage de sainte Catherine, à une cérémonie qui se faisait à la fin de chaque cours de licence, et dans laquelle un orateur appelé paranymphe, après une harangue, apostrophait par rang tous les bacheliers quelquefois par des compliments, et plus souvent par des épigrammes mordantes, auxquelles ceux-ci répliquaient par de semblables pièces (voir L'Encyclopédie de Diderot http://portail.atilf.fr).

L'Église orthodoxe n'attribue pas seulement au Précurseur la place qui dans l'ordre vient juste derrière celle de la Mère de Dieu, mais elle l'unit mystiquement à Elle dans la proximité immédiate du Sauveur, comme par exemple sur l'icône appelée Déisous (ou Déisis , très largement répandue et faisant toujours partie de l'iconostase ; de même que sur l'icône de la " Sophie, Sagesse de Dieu " (école de Novgorod).

Incarnation de la Sagesse (d'en-bas), Catherine, fille de roi et instruite dans toutes les matières, rivalisa avec les plus grands philosophes convoqués par Maximien au cours des préliminaires à son supplice. Elle illustre cette Sagesse gnostique à la vie mouvementée, annoncée par Jean, fille de la Sagesse d'en-haut représentée par la Vierge.

Dans Adversus haereses I, 30, 12, Irénée décrit les croyances des Ophites, secte gnostique égyptienne. En particulier l'union de la Sagesse d'en-bas ou Prounikos, fille de la Sagesse d'en-haut, avec son frère Christ : " Prounikos elle-même ne trouvait de repos ni au ciel ni sur la terre. Dans son affliction, elle appela sa Mère à l'aide. Celle-ci, c'est-à-dire la Première Femme, fut émue du repentir de sa fille et demanda au Premier Homme que le Christ fût envoyé à son secours. Celui-ci descendit donc, envoyé vers sa sœur et vers la rosée de lumière. Apprenant que son frère descendait vers elle, la Sagesse d'en bas annonça sa venue par Jean, prépara le baptême de pénitence et disposa à l'avance Jésus pour que, lors de sa descente, le Christ trouvât un vase pur et que, grâce à son fils Jaldabaoth, la Femme fût annoncée par le Christ. Le Christ descendit donc à travers les sept Cieux, en se rendant semblable à leurs fils, et les vida graduellement de leur puissance : car, disent-ils, vers lui accourut toute la rosée de lumière. En descendant en ce monde, le Christ revêtit d'abord sa sœur Sagesse. Tout deux exultèrent, en prenant leur repos l'un dans l'autre : c'est là, assurent-ils, l'Époux et l'Epouse. Or Jésus, du fait qu'il était né d'une Vierge par l'opération de Dieu, était plus sage, plus pur et plus juste que tous les hommes : en lui descendit le Christ uni à Sagesse, et ainsi il y eut Jésus-Christ. "

Dans le judaïsme alexandrin (Sagesse de Salomon et Philon), le mariage spirituel avec Sophia n'est pas seulement une allégorie de la connaissance, mais un enseignement ascétique qui inclut l'abstinence sexuelle. On trouve un thème analogue dans la dévotion à Isis de la même époque (cf. Apulée, L'âne d'or). C'est à ces sources que puise le premier chapitre de l'épître aux Corinthiens. Avec Origène, le mariage mystique avec le Christ, accompagné d'ascétisme, devient un schéma essentiel de la spiritualité chrétienne, surtout monastique, mais le terrain est déjà bien préparé dans le judaïsme hellénistique et dans les premières communautés chrétiennes.

Roues

Jean et Catherine sont tous deux associées à la roue. Sainte Catherine fut rouée avant d'avoir le cou coupé. On montrait sa roue à Bourges. Les huguenots ayant ouvert la châsse qui contenait cette relique, trouvèrent une petite roue assez singulière , autour de laquelle on avait écrit cette pieuse légende :

Quand cette roue tournera,

Celle que j'aime m'aimera.

En certains lieux, à la Saint Jean, la roue ardente, disque enflammé tournant sur lui- même et parcourant les rues des villes ou descendant du sommet des montagnes, représentait le mouvement du soleil qui n'atteint le plus haut point de sa course que pour redescendre aussitôt ; elle rappelait la parole du Précurseur au sujet du Messie : " Il faut qu'il croisse et que je diminue ". Le symbolisme se complétait par l'usage où l'on était de brûler les ossements et débris de toutes sortes, en ce jour qui annonça la fin de la loi ancienne et le commencement des temps nouveaux, selon le mot de l'Ecriture : Vous rejetterez ce qui est vieux, à l'arrivée des nouveaux biens.

Templiers

Les Templiers étaient présents sur cette diagonale à Coadry, Gentioux-Pigerolles, Le Pallet, Nantes, Pluvigner, Larodde, Saint-Léger-la-Montagne, Le Temple-de-Bretagne, Malville, Noyal-Muzillac, Coray et Féniers.

La vie religieuse des Templiers suit la vie du Christ : ce sont les moments cruciaux pour la communauté. Ils sont invités à entrer en procession dans " l'yglise " pour les fêtes de Pâques, de l'Ascension, de Pentecôte, d'Assomption, de Nativité de la Vierge, de la Toussaint, de Noël, de l'Épiphanie, de la Chandeleur et enfin des Rameaux. La règle livre à l'historien une liste de trente-deux fêtes célébrées à partir de l'Avent, début de l'année liturgique puisqu'il précède la naissance du Christ. Les célébrations sont essentiellement axées sur le Christ, la Vierge Marie, et les apôtres. La présence de la fête de la Saint Martin le 11 novembre et de la sainte Catherine le 25 Novembre incline à penser à la forte présence de la ruralité dans les prières pour ces personnes qui dans les préceptories vivent essentiellement de cette terre nourricière, d'où ces actions de grâce en Occident. Les jeûnes sont obligatoires pour les fêtes précitées : cette pratique est d'usage depuis le concile complémentaire du 30 mai 1134 sous l'égide d'Innocent II. Ces textes ont été ajoutés à la règle latine, ce qui prouve une fois de plus que la règle latine est plus ancienne que les règles en langue vernaculaire (voir http://pagesperso-orange.fr/patrimoine.barsequanais).

Extrait de la règle du temple :

" Ce sont les fêtes qui doivent être célébrées en la maison du Temple 75. La Nativité de Notre Seigneur, la fête de saint Etienne, saint Jean l'Evangéliste, les Innocents, les huitaines de Noël qui est le jour du Nouvel An, le baptême, sainte Marie de la Chandeleur, saint Mathias l'Apôtre, l'Annonciation de Notre Dame de mars, la Pâques et les trois jours suivants, la Saint- Georges, Saint Philippe et Saint Jacques, deux apôtres, l'Invention de la Sainte Croix, l'Ascension de Notre Seigneur, la Pentecôte et les deux jours suivants, la Saint-Jean-Baptiste, saint Pierre et saint Paul, deux apôtres, sainte Marie-Madeleine, saint Jacques l'Apôtre, saint Laurent, l'Assomption de Notre-Dame, la Nativité de Notre-Dame, l'exaltation de la Sainte-Croix, saint Matthieu l'apôtre, saint Michel, saint Simon et saint Jules, la fête de tous les saints, saint Martin hors les charrues, sainte Catherine hors les charrues, saint André, saint Nicolas hors les charrues, saint Thomas l'Apôtre. " (voir http://www.templiers.org).

La règle manifestait ainsi la dévotion des templiers à sainte Catherine, la Vierge, saint Jean-Baptiste et saint Martin en particulier.

Sainte Catherine apparaît dans l'affaire de leur procès à travers Laurent de Poulangy de la maison du même nom de l'ordre du val des Ecoliers.

Le 25 mars 1308, maître Laurent fait partie des quatorze théologiens séculiers et réguliers convoqués par le roi au sujet des Templiers. Ils déclarent ces derniers coupables et concluent qu'" ymmo sine periculo et scandalo totius ecclesiae talis ordo remunere non potest ". Laurent appose son sceau au bas de l'acte 23°. Les Écoliers contribuent ainsi à la chute de cet ordre qui les a pourtant aidés à s'implanter à Paris.

Ce même Laurent figure parmi les vingt et un maîtres en théologie convoqués par l'inquisiteur dominicain Guillaume de Paris pour juger quinze articles tirés du Miroir des simples âmes, livre d'une béguine de Valenciennes, Marguerite Porete, dont le procès traîne toute une année, et qui fut défendue par Guiard de Cressonessart, bégard du diocèse de Beauvais. L'inquisiteur Guillaume reprend l'affaire en mars 1310 et avec, entre autres, Laurent de Poulangy. Marguerite excommuniée et refusant de désavouer son livre est condamnée comme relapse et brûlée vive à Paris en 1310. Un ancien prieur du Val contribue ainsi à l'exécution d'une béguine à Paris alors que des frères de l'ordre, dans les Pays-Bas, mais aussi à Reims et à Chaumont sont en relations étroites avec des béguinages.

Marqué par la constitution des universités et la naissance des deux grands ordres mendiants, dominicain et franciscain, le début du XIIIème siècle vit aussi se développer une congrégation originale, celle du Val des écoliers. En effet, ses fondateurs, quatre maîtres en théologie de Paris, rompant avec la scholastique, se réfugièrent dans la solitude de la campagne champenoise à Verbiesles pour se mettre à l'école exclusive du Christ. Ils constituèrent une trentaine de maisons réparties de la Bourgogne à la Belgique actuelle, des marches lorraines à la Normandie, dont la plus importante fut Sainte-Catherine de la Couture, fondée à Paris dans le quartier du Marais[1].

Curiosités

Philippe Emmanuel de Lorraine, duc de Mercoeur, né à Nomény en Lorraine en 1558, nommé gouverneur de Bretagne en 1582 par Henri III qui a épousé sa sœur Louise. Il se met à la tête de la Ligue en Bretagne après l'assassinat du duc de Guise, traite avec Philippe II d'Espagne et fait venir les troupes espagnoles en Bretagne.

Le château du Goust à Malville appartenait à Jean VI de Montauban pris dans une lutte sans merci avec le duc de Mercoeur, gouverneur de Bretagne. Apprenant que Jean de Montauban fortifie son château, Mercoeur décide de l'attaquer. Il est devancé par Montauban qui s'empare du château de Blain. Jean de Montauban est alors fait gouverneur de Blain. Le château du Goust est pris en 1589 par les hommes de Mercoeur avec l'aide des habitants de Cordemais et de Malville. Mercoeur assiègera le château de la Bretesche à Missillac en 1591. Chargé de la levée des d'impôts dans la région, Jean de Montauban dévaste le pays jusqu'aux portes de Nantes. Il est fait prisonnier avec ses hommes après plusieurs jours de combat. Il ne sera libéré qu'en 1598 après avoir versé une rançon. En 1599, amnistié par Henri IV, Jean de Montauban revient au Goust, qui reçoit une garnison royale en 1601, pour le fortifier. Il meurt vers 1606 (www.infobretagne.com).

Le duc de Mercoeur continue la guerre jusqu'à sa reddition à Henri IV en avril 1598 puis il quitte la France, se met au service de Rodolphe, roi de Hongrie pour combattre les Turcs en Styrie. Il meurt de fièvre maligne à Nuremberg en 1602 à 44 ans (Henri Larher, Galerie de portraits).

Mercoeur, Missillac, Nantes et Malville se trouvent sur cette même diagonale.

 


[1] Catherine Guyon, Les écoliers du Christ: l'ordre canonial du Val des écoliers, 1201-1539, Université de Saint-Etienne, 1998