Saint-Arcons-d’Allier
France
Haute-Loire 43

Nonagones "français"
Les tracés des nonagones "français" déborde sur la Suisse.
Ils ont pour centre un lieu dans les environs de La Ferrandière à Neuillay-les-Bois dans l'Indre.

sur la diagonale du grand nonagone Edern - Ferrassières

Le saint qui a donné son nom à la paroisse de Saint Arcons d’Allier n’est pas le compagnon de Saint Ilpize qui vivait sous l’empire d’Alexandre vers l’an 220. Il était maçon de métier, et travaillait à la construction de Notre Dame du Puy. Arcons, suivant la légende, travaillait au Puy et revenait tous les soirs dans la maison paternelle pour soigner ses parents infirmes. Or, chaque matin, il était rendu de bonne heure à son poste de maçon. Ses compagnons de travail voulant en savoir plus le suivirent. Lors du retour au Puy, épuisés, ils durent s’arrêter au sommet de la montagne de la Couade. Là, le saint, prenant son marteau le frappa contre terre et en fit jaillir une source de vin. Il obtint qu’elle fut transformé en eau par un second miracle. Les habitants de Saint Arcons se rendaient en pèlerinage à la fontaine la plus rapprochée de leur village, celle appelée de Saint Arcons, pour commémorer le prodige. Ils célébraient sa fête le 4 février. Les reliques, disparues de l’église, intercédaient pour la guérison des fièvres.

L’église Saint-Loup est en partie romane.