Partie IX - Synthèse   Chapitre LVIII - Autour de Rennes   La croix d’Huriel et les nonagones 2   

Croix d'Huriel et Nonagones : le sang et la rose

Le rayon de la Marguerite allant de Neuillay-les-Bois à La Chapelle-Geneste, à côté de La Chaise-Dieu, passe par : Sauxillanges, Vic-le-Comte, Chambon-sur-Voueize, Neuvy-Saint-Sépulcre.

Il passe près de Rochemaure, l'un des sommets de la Croix d'Huriel, et la Croix Valmer, un des lieux légendaires de la vision de Constantin du "Par ce signe tu vaincras". A l'opposé par rapport à Neuillay-les-Bois, on trouve le Mont Saint Michel, rien que ça (la Vraie Langue Celtique : Les Armagnacs et la Croix d'Huriel).

Les Roses et le sang

La Chaise-Dieu arbore dans son blason les roses rouges du pape Clément VI, né à Rosiers d'Egletons, aligné avec Rouziers du Cantal, centre de la Croix d'Huriel, et Neuillay-les-Bois.

A Aphrodite, la Vénus grecque, on attribue le mythe de la naissance de la rose rouge, qui était blanche à l'origine, mais que son sang teinta lorsque, voulant secourir Adonis qu'un sanglier avait grièvement blessé, elle s'était piquée à une épine. Son sang colora les roses qui lui furent ainsi consacrées. La rose devint de la sorte le symbole de l'amour, qui parfois même survit par-delà la mort (Dulce Maria Gonzalez Doreste, Le temps de la rose est éternel, traduit par Christophe Halsberghe, Contez me tout: mélanges de langue et littérature médiévales offerts à Herman Braet, 2006 - books.google.fr).

Le Précieux Sang

Comme Billom, Vic-le-Comte se glorifiait d'avoir une relique du Précieux Sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ. Quelle était exactement la nature de cette relique ? D'où venait- elle ? Comment était-elle arrivée dans notre localité? Nous avons vainement cherché la réponse à toutes ces questions. Mais nous possédons des documents qui semblent nous indiquer l'époque où on recommença à lui rendre un culte public, après une interruption plus ou moins longue.

L'historien a le droit de demander d'où pouvaient venir ces reliques insignes du Précieux Sang de Notre-Seigneur Jésus-Christ, qu'on vénérait non seulement à Billom et à Vic-le-Comte, mais encore dans beaucoup d'autres localités du monde catholique. La réponse à cette question ne saurait offrir de difficulté pour quiconque est croyant. Il est d'abord indiscutable qu'on ait pu recueillir du sang répandu sur le Calvaire par le Sauveur du monde, et il paraît insoutenable qu'il ne se soit trouvé personne pour accomplir cet acte de piété. Ce sang miraculeusement conservé à travers les siècles, a pu être distribué à un nombre d'églises plus ou moins considérables, comme une relique ardemment désirée des fidèles. Mais outre le sang naturel de Jésus-Christ, répandu sur le Calvaire pour le salut du monde, les annales du monde catholique mentionnent, comme absolument historiques, plusieurs événements miraculeux, où l'on a vu des images du Sauveur et des hosties consacrées répandre du sang, qui a été recueilli et précieusement conservé (Memoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Clermont-Ferrand, 1898 - books.google.fr).

Vic le Comte est donc aligné avec Neuvy-Saint-Sépulcre et Neuillay-les-Bois.

L'église de Neuvy-Saint-Sépulcre (Indre) possède deux gouttes du Sang de Notre Seigneur Jésus Christ, recueillies, au jour de la Passion, sur le Calvaire. Elles ont la forme de deux larmes coagulées. Pur et sans mélange d'eau ni de terre, ce Sang divin est peut-être la plus précieuse relique du monde. Le cardinal Eudes, évêque de Tusculum, l'avait rapportée de Terre Sainte où, pendant six ans, il avait exercé les fonctions de légat du Pape pour la première croisade de saint Louis. Et en 1257, il en fit don à Neuvy, son pays natal. Depuis cette époque, le Précieux-Sang repose sous la magnifique coupole byzantine, bâtie en 1042-1046 par Eudes de Déols et Geoffroy de Bourges, sur le modèle primitif de l'église du Saint-Sépulcre de Jérusalem. Pour honorer cette sainte relique, les souverains pontifes accordèrent dès l'origine de grandes faveurs à l'église de Neuvy. Et en 1621, Mgr André Frémiot, archevêque de Bourges, institua une confrérie du Précieux-Sang que, deux ans après, le pape Grégoire XV approuvait et enrichissait de nombreuses indulgences. En ces derniers temps, cette confrérie a été réorganisée par Mgr de La Tour d'Auvergne et par Mgr Servonnet, archevêques de Bourges (catholique-bourges.cef.fr - Neuvy).

Le sang de l'Agneau

Suzanne, charitable matrone, avait laissé en mourant une fille nommée Valérie. Baptisée par saint Martial, Valérie voua sa virginité au Seigneur. La double nouvelle de ce baptême et de cette consécration inouïe se répandit bientôt dans toute la ville. Elle parvint même aux oreilles de Stéphanus, successeur du père de Valérie dans le gouvernement de la province.

A peine arrivé à Limoges, Stéphanus s'empressa de demander la main de la jeune vierge. Promesses, prières, tout fut employé, et tout fut inutile. Furieux de se voir refusé, Stéphanus eut recours à l'argument tant de fois employé par les persécuteurs : il fit trancher la tête à Valérie. En allant au martyre, elle annonça au centurion Octavius, chargé de la décapiter, qu'il mourrait le lendemain. Son corps angélique fut enseveli à Limoges et dans la suite transporté à Chambon en Combraille, où il repose encore. Sainte Valérie est probablement la première, parmi les vierges de l'Occident, qui ait teint sa robe nuptiale dans le sang de l'Agneau (Mgr Jean-Joseph Gaume, Biographies Evangeliques, 1893 - books.google.fr).

A Limoges est fêtée sainte Valérie le 10 décembre. Observez cependant qu'on trouve quelquefois sainte Valérie le 9 décembre, même dans les Registres consulaires de Limoges : c'est ce jour qui lui avait été assigné dans le Martyrologe romain (Abbé Lecler, Note sur saint Martial "baro trei", Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Limousin, Volume 18, 1868 - books.google.fr).

Sur la Marguerite (Super-étoile), La Chapelle-Geneste est associée au 9 décembre, comme saint Nectaire (Partie IX : Super-étoile : La Chapelle-Geneste).

Sauxillanges

Sauxillanges est dominée par la butte d’Usson, l’une des quatre clefs d’Auvergne (appelées aussi les quatre portes) avec Vodable, Ybois et Nonette. Le château d'Usson, démoli sur l'ordre du cardinal de Richelieu, avait été auparavant, de 1585 à 1605, lieu de résidence surveillée de Marguerite de Valois (1553-1615), dite la Reine Margot, première épouse (1572-1599) du roi de France Henri IV.

L’abbaye de Sauxillanges a été fondée par deux donations successives : en 917 par le duc Guillaume d’Aquitaine qui en 910 avait fondé une chapelle reliquaire dédiée à Saint Jean. Puis le 11 octobre 927 par son neveu le duc Acfred. Les moines s’y installent vraisemblablement à partir de 944. Elle dépend de l’abbaye bénédictine de Cluny (créée en 909). Douze moines venus de Cluny s’attachent à développer l’influence du monastère, justifiant ainsi son titre de « Fille aînée de Cluny » (créée en 909). Son premier abbé fut un certain Odo ou Odon. Elle accueille plus de quatre-vingts moines dès la fin du Xe siècle. En 1062, plusieurs abbayes dont Sauxillanges sont transformées en prieurés par Hugues de Semur, grand abbé de Cluny. Pierre le Vénérable, né à Montboissier en 1094, y fait ses études avant de revêtir l'habit religieux en 1109, et de devenir prieur claustral de Vézelay puis prieur de Domène en Isère et ensuite abbé de Cluny qu'il dirigea jusqu'à sa mort en 1156. Pierre le Vénérable, de la famille de Montboissier qui s'allia aux Roger de Beaufort auxquels appartenait le pape Clément VI dont le blason portait 6 roses, est fêté le jour de sa mort le 25 décembre, date superstellaire comme le 9 décembre, Sainte Valérie de Chambon.

L'abbaye de Sauxillanges est un des cinq grands prieurés de Cluny avec Souvigny, La Charité-sur-Loire, Saint-Martin-des-Champs à Paris et Lewes en Angleterre. Après 1789, le prieuré est détruit en partie et les biens de l'Église sont vendus à des particuliers jusqu'en 1793.

Les vestiges de l'ancien monastère comporte la chapelle gothique (remontant au XIIe siècle), chapelle Notre-Dame-du-Bois, qui est en cours de restauration, avec cinq clefs de voûte qui sont attribuées respectivement aux Bourbons (armes de France: "d'azur à trois fleurs de lys"), à Jacques d'Amboise ("palé d'or et de gueules"), à Johannes des Laurents prieur au moment de la construction de la chapelle ("étoile à six branches [un quart de la super étoile] sous un lambel à trois pendants en chef"), à Carolus de Bourbon 73e prieur ("d'azur à trois fleurs de lys d'or au bâton de gueules") et à Cluny ("un glaive et deux clefs croisées").

Le brave petit saint Godon non répertorié serait un moine du VIIIe siècle dont le corps était conservé à Volvic. Au XIVème siècle, lors d'une épidémie de peste à Sauxillanges (Puy-de-Dôme), les les moines demandèrent à l'évêque de Clermont de faire venir les restes de saint Godon. On le promena dans les rues et l'épidémie cessa. Son corps fut brûlé à la Révolution, et l'église ne conserve plus que ses cendres et sa sandale miraculeuse, pendue au bras droit de la statue reliquaire de Notre-Dame-du-Bois. On en chausse les malades qui viennent l'invoquer (Michèle Brocard, Eloge et pratique des saints guérisseurs, 2003 - books.google.fr).

Godon intercède contre les fièvres et les épidémies. Saint Godon de Metz est appelé aussi Godo en latin.

Pendant les longues guerres de la France et de l'Angleterre, le peuple français avait donné aux Anglais le surnom de gode ou de godon, qui leur était resté, soit à cause de leur juron ordinaire : Goddem ! soit parce qu'ils se montraient insatiables de godale ou bière forte. Godon diminutif du prénom Claude. La gode est une femme de mauvaise vie (Catalogue de la Bibliotheque de L'abbaye de Saint-victor Au Seizieme Siecle, 1962 - books.google.fr).

De ces mots ont été formés les noms propres suivants: Gau, Gaudin, Gode, Godde, Godeau, Godin, Godinot, Godon, Godot (Jean Baptiste Bonaventure de Roquefort, Glossaire de la langue romane, 1808 - books.google.fr).

D'ailleurs les sens de libertinage, débauche, bombance que l'on trouve dans gode, goder, godin, godine, godinette, godon, etc., rattachent goder au Celtique god, libertinage et non au latin gaudére. L'abbé Boudet, à la page 274 de La vraie Langue Celtique, donne les deux noms d'une source de Rennes-les-Bains : La Madeleine et la Gode qui dans ce cas peuvent être synonyme de pécheresse (Partie XI : La Vraie Langue Celtique).

La Vie et le Martyre de Saint Crépin et Saint Crépinien sont racontés par un tableau en 15 compartiments qui se trouve dans l'église Notre Dame de l’Assomption de Sauxillanges. Les jumeaux sont cordonniers (sandale) (fr.wikipedia.org - Usson (Puy de Dôme), fr.wikipedia.org - Sauxillanges, roch.jaja.free.fr - Sauxillanges).

De Ceslnianae (domaine de Celsinien), on passe à Sauxillanges par une transformation donnée par la Revue archéologique, Volume 3, Presse Universitaire de France, 1861 - books.google.fr.

Le culte de Saint Celse est très-ancien dans l'église milanaise : son corps fut trouvé par saint Ambroise, près de celui de saint Nazaire, au milieu des champs ; dans le tombeau de saint Nazaire on trouva une fiole pleine de son sang, lequel était aussi vermeil et aussi liquide que s'il venait d'élre versé ; saint Ambroise fit transporter à Milan le corps de saint Nazaire, et se contenta dïndiquer la place où étoit celui de saint Celse. On lui bâtit ensuite une chapelle que l'archevêque Landolfo de Carcano fit réparer au dixième siècle, et il déposa le corps sous le grand autel, où il est actuellement; le sarcophage qui le contient est la seule chose qui rende cette église remarquable ; elle a été rebâtie en 1777. Ce sarcophage est un monument chrétien très curieux : il a été sculpté vers la fin du quatrième, ou au commencement du cinquième siècle, et il paroit que ce fut Landolphe qui, vers la fin du dixième, fit enfermer ce sarcophage dans une autre caisse de marbre, qui a tous les caractères de ce temps Depuis cette époque, cette tombe sacrée a été ouverte pour en reconnoître les reliques. On y a trouvé les débris d'une caisse de bois et un coffre de plomb, qui porte la date delépoque à laquelle les objets précieux qxfelle contient y ont été renfermés en 1521, lors de la première reconnoissance qui fut faite de ces reliques. La caisse de plomb renfermoit elle même le corps de saint Celse; un voile imprégné de son sang (Aubin L. Millin, Voyage dans le Milanais, a Plaisance, Parme, Modène, Mantoue, Crémone, et dans plusieurs autres villes de l'ancienne Lombardie, Volume 1, 1817 - books.google.fr).

L'Eau de la RÉVEILLE est une Eau minérale froide, située au village de Sauxillanges, canton d'Issoire , dép. du Puy-de-Dôme, en France. Elle est un peu saline et gazeuse, légèrement acidulé ; elle fait mousser le vin sur lequel on la verse, et trouble le vin rouge: on l'estime dans le pays, où elle n'est guère connue et employée que par les gens du canton , comme rafraîchissante et un peu laxative; on en boit pour remettre les intestins après des débauches et comme digestive; nous en avons goûte sur le lieu même, et elle nous a offert une assez grande analogie avec l'eau de Seltz pour la saveur et les autres propriétés physiques; il nous semble qu'elle pourrait fort bien la remplacer (François-Victor Mérat, Dictionnaire universel de matière médicale et de thérapeutique générale, 1834 - books.google.fr).

On aura rapproché Celse de Seltz. Charles Nicolas Cochin (1715-1790), dit le fils, d'une famille de graveurs, annonçant son départ pour Bruxelles et Anvers, écrit Celse pour Seltz, étape du voyage, dont les eaux avaient été recommandées à son protecteur : M. de Marigny, frère de la marquise de Pompadour (Précis analytique des travaux de l'Academie des Sciences, Belles-lettres et Arts de Rouen, 1916 - books.google.fr).

Curiosité linguistique, le bois de sandal

SANTALUM, Santal, ou Sandal. Nous recevons des Indes trois sortes de bois désignés sous le nom de santal, et plus souvent de sandal (ces Messieurs de l'Académie française prononcent sandale) : le santal citrin, le santal blanc et le santal rouge, tous trois employés dans la tabletterie fine. On nous les apporte de Siam & des Isles de Timor & de Salor : mais les Botanistes ne conviennent point de l'arbre qui les produit. II s'appelle Siranda, selon Herman, & il donne des baies. On tire le blanc des jeunes arbres, & le rouge & le citrin de ceux qui sont vieux : le premier est l'aubier ou l'écorce de l'arbre, & le troisième sa moelle ou sa substance intérieure. Ceux qui coupent ces arbres sont souvent saisis de fièvres malignes, accompagnées de délires d'une espece tout-â-fait surprenante. Car pendant le redoublement qui dure ordinairement quatre heures, les malades font des actions fort ridicules, imitant ce qu'ils ont coutume de faire lorsqu'ils font en bonne santé. Ils ont de plus une faim extraordinaire, de forte que tandis qu'ils font dans le délire, ils mangent avee avidité les plus sales alimens qu'on leur présente.

C'est le cœur ou la partie mitoyenne d'un arbre qui croît dans les Indes orientales fur la côte de Coromandel. II est solide, dur & pesant, mais presque sans gout & sans odeur. On croit que l'arbre qui le donne porte des fleurs en papillon. Le sandal rouge est pareillement estimé dessiccatif & rafraîchissant, & malgré son peu de vertu, on en fait un plus grand usage que des deux autres, surtout pour donner une couleur rouge aux infusions, aux teintures ou aux décoctions. II passe encore pour avoir plus d'astringence.

Coromandel est le région d'origine de François Lin, siamois baptisé en l'église de Saint Sulpice de Paris le 1er avril 1688 (Partie XI : La Vraie Langue Celtique).

Le sandal rouge est rafraîchissant & astringent ; d'où il suit que toutes les vertus que les Arabes attribuent aux différentes espèces de sandaux contre les chaleurs contre nature & les autres maladies de cette espece, résident plus particulièrement dans celui-ci.

On tire du sandal rouge qui est la moelle solide, rouge & pesante d'un arbre siliqueux & épineux, qui croît dans le Malabar & sur la côte de Coromandel, au moyen de l'esprit de vin, une teinture rouge que tout le monde connoît. Mais une circonstance qu'on a ignorée jusqu'aujourd'hui, c'est qu'on peut tirer de ce bois une résine de couleur rouge noirâtre, dont il ne faut qu'une petite quantité pour donner à quelques onces d'esprit de vin une couleur aussi rouge que celle du sang. On la prépare de la même manière que les autres résines, je veux dire, en versant de l'esprit de vin rectifié sur des copeaux de ce bois. On extrait l'essence à l'aide d'une légère digestion, & lorsqu'elle est abondante on en tire l'esprit, & l'on sait épaissir le reste à l'aide d'une chaleur douce. On obtient par ce moyen une poudre d'un rouge foncé dont il ne faut que quelques grains pour teindre une grande quantité d'esprit de vin de la même couleur.

Cette résine n'a ni gout ni odeur, & ne répand aucune odeur lorsqu'on la brûle. Elle jette beaucoup d'écume quand on l'allume & laisse après elle une grande quantité de terre. Elle donne une très-belle couleur à l'esprit de vin, mais elle ne produit point cet effet sur les huiles, soit qu'elles soient exprimées ou distiléés. Elle ne se dissout point non plus dans celles-ci, ce qui prouve manifestement qu'elle est plutôt composée d'une substance terrestre & subtile, que d'une matière grasse & oléagineuse. On peut l'employer pour teindre les médicamens, & comme elle teint l'esprit de vin d'un rouge extrêmement foncé, les Anatomistes peuvent s'en servir commodément pour injecter les vaisseaux artériels de la tête

Dans l'Inde, on obtient avec le bois de sandal une essence que les marchands font souvent passer pour de l'essence de roses bien qu'elle lui soit inférieure (Robert J. James, Dictionnaire universel de médecine, de chirurgie, de chymie, de botanique, d'anatomie, de pharmacie, d'histoire naturelle, &c, Volume 5, 1748 - books.google.fr, Pierre Danet, Grand Dictionaire françois et latin, 1710 - books.google.fr, Congrès provincial des orientalistes français : Compte-rendu de la session inaugurale. Levallois - 1874, 1875 - books.google.fr).