Partie XI - La Vraie Langue Celtique de l’abbé Henri Boudet   Présentation   
LA VRAIE LANGUE CELTIQUE DE L'ABBE HENRI BOUDET

Le plan du Serpent Rouge de l'église de Saint Sulpice à Paris projeté sur la carte du département de l'Aude met en correspondance les numéros placés dans les chapelles avec des communes. Le N° 6 avec Laure Minervois ou Rustique, le N° 5 avec La Cassaigne, le N° 1 Carcassonne, le N° 2 Caux et Sauzens, le N° 3 Villar Saint Anselme ou Gardie et le N° 4 Villebazy ou Saint Hilaire (Autour de Rennes-le-Château : Saint Sulpice, Aude et Grande Ourse). En choisissant bien les communes et en prenant leur initiale on trouve dans l'ordre 123456 : CCVVLL. CVL fait penser à VLC, le livre de la Vraie Langue Celtique de Boudet avec ses 310 pages soit 2 fois 155, soit CLV en chiffres romains.

Pour retrouver à partir de CCVVLL la transcritpion CLV-CLV il faut ordonner par exemple en 153 264 la suite de chiffres 123456.

L'hypothèse développée ici est que l'abbé Henri Boudet a écrit son livre en suivant celui des Psaumes de la Bible. Mais pas n'importe quelle bible. La syriaque qui emploie dans sa liturgie 155 psaumes. Les 150 bien connus de la Vulgate, ainsi que les 5 psaumes dits surnuméraires, ou apocryphes syriaques. Les 310 pages sont donc divisés en 2 fois le livres des 155 psaumes syriaques, les pages d'une des partie étant appariées à celle de l'autre dans le même ordre. Ainsi la page 1 est appariée à la 156, etc., et la 155 à la 310.

153

Il s'explique ainsi par Saint Augustin dans le Discours sur le psaume CL :

Les psaumes sont au nombre de cent-cinquante; or, ce chiffre. dans l'ordre des unités, donne quinze formé de sept et de huit. Sept nous rappelle la semaine sabbatique de l'Ancien Testament, et le huitième jour est celui de la résurrection, ou du Nouveau Testament. Cinquante se compose d'une semaine de semaines, plus l'unité, et ce fut le cinquantième jour après la résurrection que descendit l'Esprit Saint, désigné par le nombre sept. Les cent cinquante-trois poissons nous montreraient dans trois le diviseur de cinquante. En décomposant dix-sept en autant de nombres que l'on additionne ensemble on arrive à cent cinquante-trois. Or, dix-sept est composé de dix, le décalogue, et de sept, la figure du Saint-Esprit. La division en cinq livres est peu fondée. Cette parole : "Il est écrit au commencement du livre", désignerait ou le livre des Ecritures, au commencement duquel nous lisons : "Ils seront deux dans une même chair", mystère du Christ et de l’Egiise ; ou le livre des Psaumes, dont le premier regarde le Christ. La division en trois livres de cinquante psaumes chacun, nous montre la pénitence dans le cinquantième psaume, la miséricorde et la justice dans le centième, et la louange de Dieu dans ses saints, c'est le psaume cent cinquantième. C'est la voie du ciel, puisque Dieu nous appelle par la pénitence, nous justifie par la miséricorde, puis nous admet dans la vie éternelle pour chanter ses louanges.

Bien que Dieu ne m'ait point encore fait la grâce de me révéler tous les grands mystères que me paraît contenir l'ordre des psaumes; bien que la faiblesse de mon esprit n'en ait point pénétré toute la profondeur; néanmoins, comme ils sont renfermés dans le nombre de cent cinquante, ce nombre nous insinue quelque mystère que je voudrais vous exposer sans témérité et selon qu'il plaira à Dieu de me secourir. D'abord le nombre quinze est multiple de cent cinquante (car dans l'ordre des unités, il est le même que cent cinquante dans l'ordre des dizaines, puisque quinze multiplié par dix donne cent cinquante : le même que mille cinq cents dans l'ordre des centaines, ou quinze multiplié par cent ; le même que quinze mille dans l'ordre des mille, ou quinze multiplié par mille), le nombre de quinze nous marque donc l'accord des deux Testaments. Dans l'un, en effet, l'on observe le sabbat au jour du repos ; dans l’autre, le dimanche, qui signifie jour de résurrection. Or, le sabbat est le septième jour; le dimanche qui vient après le septième jour, que peut-il être sinon le huitième, et en même temps le premier? On l'appelle aussi le premierjour du sabbat, de manière à compter ensuite le second, le troisième, et ainsi de suite jusqu’au septième qui est le sabbat. Mais à partir du dimanche, jusqu'au dimanche, nous nous trouvons au huitième jour, auquel fut révélé ce Nouveau Testament qui était caché dans l’Ancien, sous les promesses terrestres. Or, sept et huit font quinze. Tel est le nombre des psaumes appelés Cantiques des degrés, parce que tel était le nombre des degrés du temple. Le nombre de cinquante renferme aussi en lui-même un grand mystère, puisqu'il se compose d'une semaine de semaines, auxquelles on ajoute l'unité qui serait comme le huitième et fermerait cinquante ; sept fois sept font en efl‘et quarante-neuf, et nous avons cinquante en y ajoutant l'unité. Or, ce nombre de cinquante a une signification tellement mystérieuse, que ce fut le cinquantième jour après la résurrection du Christ, que le Saint-Esprit descendit sur les disciples assemblés en son nom ‘. De plus, l’Esprit-Saint est désigné par le nombre sept dans les Ecritures, soit dans lsaïe, soit dans l’Apocalypse, où nous trouvons clairement les sept esprits de Dieu, à cause des sept opérations de ce même Esprit. Le prophète lsaie nous parle ainsi de ces sept opérations : « L’Esprit de Dieu se reposera sur lui; Esprit de sagesse et d'intelligence, Esprit de conseil et de force, Esprit de science et de piété, Esprit de crainte du Seigneur. Et par cette crainte , il tant entendre la crainte chaste, qui demeure dans le siècle des siècles. Quant à la crainte servile, elle est bannie par la charité parfaite ‘ : celle-ci nous afl‘ranchit de manière que nous ne fassions point de ces œuvres serviles que proscrit le sabbat. Or, la charité est répandue dans nos cœurs par l’Esprit-Saint qui nous a été donné 7. C'est donc l'Esprit-Saiut que désigne le nombre sept. Mais le Seigneur a lui-même divisé le nombre cinquante en quarante et en dix ; puisque c’est le quarantième jour après sa résurrection qu'il monta au ciel, puis dix jours après qu’il envoya le Saint-Esprit, désignant ainsi par le nombre quarante son passage en cette vie temporelle. Le nombre quatre est en ett‘et le nombre qui prévaut dans quarante; or, il y a quatre parties dans le monde comme dans l'année, et en y ajoutant dix comme le denier qui doit récompenser les œuvres de la loi, nous trouvons la figure de l'éternité. En multipliant cinquante par trois, et pour ainsi dire par la trinité, nous arrivons à cent cinquante, nombre qui n’est point sans raison celui de nos psaumes. Dans ce nombre de poissons pris dans les filets des Apôtres après la résurrection, l'Evangile ajoute le nombre de trois à celui de cent cinquante, pour nous montrer, ce semble, en combien de portions nous devons partager ce nombre de manière à trouver trois fois cinquante. On pourrait néanmoins trouver dans ce nombre une raison plus subtile et plus agréable, c'est-à-dire que si nous décomposons dix-sept, de manière que tous les nombres depuis un jusqu'à dix-sept soient additionnés ensemble, nous arrivons encore à ce nombre de cent cinquante trois. Or, le nombre dix désigne la loi, et celui de sept désigne la grâce; puisque la loi n‘est accomplie que par la charité répandue dans nos cœurs par ce même Esprit que représente le nombre sept (Oeuvres complètes de Saint Augustin, Volume 10, Lagny, 1872).

Les pages 153/154 disent : "Le nom de Vénètes indique cette fière coutume, qui était d'ailleurs commune à tous les Gaulois, tout aussi religieux que les Vénètes, – vane (véne), temple, – to hate (héte), détester –. Leur ville principale était Dariorigum, aujourd'hui Vannes. Nous avons déjà constaté l'habileté des Aquitains et des Bituriges à élever et dompter les chevaux, et maintenant dans une autre partie de la Gaule, nous pourrons nous convaincre de quels soins vigilants les Celtes entouraient l'espèce chevaline ;car Dariorgum se traduit par : oser tailler un cheval, – to dare, oser, – to hew (hiou) tailler, – rig, cheval à demi châtré –."

"Chez les Anciens, loin de se porter sur son pénis dressé en fascinus, la castration de celui qui voit devient celle de ses yeux. Le castré, par condensation, c'est l'aveugle. Homère, Tirésias, Œdipe." remarque Pascal Quignard ("L'érotisme romain", le sexe et l'effroi, p. 141) (Irena Kristeva, Pascal Quignard : La fascination du fragmentaire, 2008 - books.google.fr). Pierre Bayle dans son Dictionnaire, en dit autant : "Les aveugles et les châtrés sont également privés de la joie dece monde. L'une et l'autre de ces expressions proverbiales est fondée. On dit d'un aveugle qu'il aperdu les loies de ce monde, et ce proverbe faity allusion aux paroles de la Vulgate, Tobie 5. On en dit autant d'un eunuque, par plusieurs manières de proverbes, touchées par Verville, ch. 23 de son Moyen de parvenir (Pierre Bayle, Dictionnaire historique et critique, 1820 - books.google.fr).

Le borgne, par la-même, est un demi-châtré. Or Geoffroy Le Borgne, originaire de Questembert, suppléant du cardinal Laurent Pucci, évêque de Vannes de 1514 à 1531, était prieur des carmes du Bondon et aussi évêque in partibus de Tibériade du lac duquel Pierre retira les 153 poissons dans son filet.

264

L'évangile offre à tous les peuples une constitution en ce seul article : aime ton prochain comme toi-même.

Le principal ouvrage du règne de Salomon fut la constitution du temple. Voulant accomplir ce grand dessein conçu par son père, il renouvela l'alliance de David avec Hiram, roi de Tyr, dont il obtint des cédres, des sapins et d’autres matériaux. Hiram lui envoya en outre les plus habiles architectes, les meilleurs ouvriers; enfin il lui fit présent de cent vingt talents (l'or pour achever l'édifice. Salomon, dans sa reconnaissance, lui accorda une rétribution annuelle de vingt mille mesures de froment et d'autant de mesures d’huile (Abbé Glaire, Encyclopédie catholique,Tome 13, 1847).

Vénus, qui, d'après la plupart des étymologistes, vient du mot hébreu Benoth, les jeunes filles, les jeunes édifices, est représentée sortant d'une coquille nommée van ou vannet. Vénus représente la beauté matérielle ou simplement naturelle. Dans l'Orient on donne le nom de van à un cycle de 60 années [Dictionnaire de Trévoux au mot van]. 60 est le nombre du mot hébreu DVN qui signifie jugement. Le mot retourné donne NVD qui signifie mouvement, agitation, transmigration, fuite. Il indique au chapitre IV de la Genèse la punition de Cain, cris profugus. Caïn fut à la vérité le premier qui fonda une cité, mais cette ville était la cité du temps, la cité passagère. Cette cité fut nommée du nom du fils de Caïn cHeNOCh ou l'initié, mot qui vaut 84, mesure du diamètre qui a pour circonférence 264. 264 est le nombre du mot Seder, constitution. Le carré qui a 84 pour diagonale, a pour côté 58, nombre du mot Chan qui signifie un camp ou castrum, et aussi la beauté naturelle. On ajoute ordinairement un E au mot Chan pour qu'il signifie camp, parce que cette lettre vant 5. Or, le mot ChamEsch qui signifie cinq, signifie aussi un corps de soldats qui défendent le camp. La dernière des 5 écorces qui défendent l'arbre mystérieux, c'est-à-dire la liberté, est appelée par les charbonniers la chemise. De là le nom de descamisados donné à un radical espagnol. Voir plus bas page 198. Le van est le signe d'Iacchus, l'initiateur des mystères dionysiaques. La vocation spéciale d'Abraham , telle que la raconte l'histoire biblique, eut pour but de garantir une famille privilégiée du feu des Chaldéens. Abraham, dont le nom signifie père de la multitude, était destiné à devenir le père d'une immense société qui ne prendrait aucune part au naturalisme des nations situées au-delà de l'Euphrate [Voir le Dictionnaire de D. Calmet au mot Tharé;]. [...] La Bible place au-dessus de cHeNOCh fils du terrestre Caïn, Chenoch fils de Jared, le chef des hommes spirituels qui s'élèvent par la contemplation de la nature à la connaissance de la beauté éternelle, type de toutes les harmonies. Il est le représentant de la cité de Dieu, dont l'histoire a été si savamment racontée par saint Augustin. Le nombre des deux Enochs 84+84=168 uni à 360, nombre du mot ESNE qui signifie mutation, révolution, donne 528, nombre de la clef nécessaire pour comprendre les symboles et leur triple rapport spirituel, physique et social.

264 est le nombre du mot Seder, constitution. Ce nombre, divisé par 66, nombre du mot Galgal, une roue, donne 4 au quotient. De là les 4 roues du grand char ou la constitution formée par l'union de deux traditions, de deux ordres primitifs (Edme Thomas, Jean Sébastien A. Devoucoux, Histoire de l'antique cité d'Autun, 1846).

L'Abbé Boudet parle, dans La Vraie Langue Celtique, des druides page 264, de leur constitution comme le dit Victor Duruy en 1881 :

Cependant il faut retenir, des dernières paroles de César, ce qui concerne la constitution singulière de ce grand corps sacerdotal. Elle contraste avec toutes les institutions de l’antiquité gréco-latine. À Rome, le prêtre et le magistrat ne faisaient qu’un : César avait le souverain pontificat en même temps que l’autorité proconsulaire ; dans la Gaule, le chef militaire et le chef religieux étaient séparés. Un clergé véritable y régnait, et, par un système d’éducation tel que les anciens n’en ont pas connu, il avait dû exercer sur les âmes une puissante influence. Mais lorsqu’on en conclut que l’Église catholique a eu plus de prise sur des peuples dont l’ancienne organisation religieuse avait tant de ressemblance avec celle que le christianisme leur apportait, on oublie que cette organisation était déjà détruite, au premier siècle de notre ère, et qu’il ne restait du druidisme que ces croyances superstitieuses qui survivent si longtemps aux religions détrônées. Entre le règne des prêtres d’Hésus et celui des prêtres de Jésus-Christ, il faut placer trois siècles de domination païenne. Quand une alluvion puissante vient ainsi recouvrir les couches anciennes, elle en change la nature. On ne voit pas d’ailleurs que le christianisme se soit établi ni plus vite ni mieux dans la Gaule que dans les pays qui n’ont jamais connu le druidisme, comme l’Italie ou l’Espagne (Victor Duruy, Histoire des Romains - Septième période (79-30) - Chapitre LIII La Gaule avant César - III les druides, 1881).

A travers les deux nombres 153, distribution miraculeuse des poissons du lac de Tibériade ou Génésareth, et 264 constitution, char divin, chariot de david, Grande Ourse, se trouve l'Eglise et sa fonction charitable.

La méthode donne de bons résultats sur certaines pages et de plus difficile à obtenir sur d'autres

Par exemple :

la page 156 évoque Sarzeau patrie de Lesage, auteur du Diable boiteux dans lequel le démon Asmodée joue le premier rôle, qui s'en prend aux libertins de son époque, tandis que le le psaume 1 dit au vers 1 selon Carrières "Heureux l'homme qui ne s'est point laissé aller au conseil des impies, qui ne s'est point arrêté dans la voie des pécheurs, et qui ne s'est point assis dans la chaire contagieuse des libertins qui se moquent des choses de Dieu".

la page 29 où Boudet cite Esdras qui fit reconstruire le Temple de Jérusalem après sa destruction par Nabuchodonosor et le retour de l'exil babylonien, quand le psaume 29 est spécialement chanté lors de la fête de la dédicace du temple.

la page 90 parle du dragon du Jardin des Hespérides, tandis que le pasume 90 de la Vulgate (91 hébreu) dit Ps. 90,13 Carrières "Vous marchiez hardiment sur l'aspic et le basilic, et vous foulerez aux pieds le lion et le dragon, sans qu'ils puissent vous nuire".

la page 91 qui mentionne la fondation de Carthage par Didon, reine qui a donné son nom au "Problème de Didon" ou "Problèmes d’isopérimètrie" dont une solution est le cercle, forme géométrique qui entoure le maximum de surface pour un périmètre fixé d’avance. Or le cercle est abordé page 246 (91+155), comme forme parfaire de Dieu. Le psaume 91 est justement employé par Dante pour illustrer un des cercles du Purgatoire, dans la Divine Comédie.

la page 105 où se trouve le mot "souverain" ("d'une renonciation volontaire au souverain pouvoir") qui ne réapparaît qu'à la page 260 (105+155) ("l'homme reconnaît sa dépendance entière de Dieu, le souverain Dominateur").

la page 114 qui insiste sur le mot "feuille", ce qui s'explique quand on sait que ce sont les Feuillantines, ordre religieux d'origine cistercienne, qui possédaient la Vierge dite noire de l'Observatoire de Paris dont les caves sont citées page 269 (114+155).

la page 138 qui parle de "chaussures" et la 293 (138+155) d'"ébauche" alors que le psaume 138 évoque une "masse informe", "golem" dans le texte hébreu. Le golem est une ébauche d'être humain. Selon la légende rapporté par Jakob Grimm (1808), le golem fut rendu inanimé par un subterfuge du Rabbi Loew qui lui demande de relacer ses chaussures.

Les textes des psaumes

A été généralement utilisée l'édition des Psaumes de 1839 du Père Carrières dont Boudet loue l'édition de la Bible en page 38 : "Nous donnons ordinairement la traduction de l'Ecriture Sainte d'après cette bible, parce qu'elle est fort exacte et très appréciée. Nous faisons ici cette remarque afin de n'avoir pas à y revenir dans toutes nos citations." (Carrières, Sainte Bible contenant l'Ancien et le Nouveau testament, 1839).

Pour coller au plus près du texte de Boudet, d'autres éditions des psaumes ont pu être employées comme celle de Campensis de 1542, en particulier pour le psaume 41 et le mot "écluse". J. Lenselink et G. Defaux insistent sur la probabilité de Campensis comme guide pour Marot. Bèze voyait des lacunes des paraphrases de Van campen dans une lettre de 1579 à Henry Hastings, lord Huntington, mais, goûtées par lui, il avouait "d'autant que quant à celle de Campensis, elle n'estoit telle qu'on n'y peust trouver à redire beaucoup".

Tel est le caractère des Psaumes : destinés à être la prière de l'Eglise dans tous les temps et dans tous les lieux , ils expriment tous ses besoins, mais d'une manière générale qui embrasse tous les temps et tous les lieux (Augustin Calmet, Sainte Bible en latin et en français: ouvrage enrichi de cartes géographiques et de figures, Volume 10).

A quoi peut correspondre ce que dit Boudet page 261 : "Il n'est guère étonnant que la prière ait formé comme le point central de la religion chez les Celtes, puisqu'elle est un acte de la raison pratique, et par suite, le propre de l'homme raisonnable."

La méthode

La méthode exposée ici n'est pas exclusive d'autres qui étudient en détail par exemple la carte insérée dans le livre de l'abbé Boudet.

Pertinence

Le degré de pertinence de l'application de la méthode sur les pages et les psaumes sera indiquée par l'écriture du mot convaincant, partielle ou complète suivant l'intérêt de l'interprétation : CONVAIN QUANT

Aide à la lecture

Dans les essais d'interprétation de la Vraie Langue Celtique, le texte de boudet est mis en gras-italique tandis que les versets des psaumes sont en gras.

Le texte de Boudet

La version en mode texte du livre de La Vraie Langue Celtique d'Henri Boudet utilisée dans cet essai d'interprétation est celle de RHEDAE-MAGAZINE.COM (Octobre 2000).