La mention de l'Observatoire de Paris invite à regarder les étoiles, et ici les constellations du zodiaque. La division en 12 pour les Travaux d'Hercule a été reprise ici pour présenter la version nonagonale du Zodiaque français centré sur Neuillay-les-Bois. Si les mois astrologiques ne sont pas de longueur identiques, la division de La Vraie Langue celtique en sections égales leur correspond quand même approximativement. Le déroulement des signes se font à partir du Sagittaire pour remonter jusqu'au Verseau. La Vraie Langue Celtique semble mentionner dans les différentes sections les villes sur les limites finales des mois astrologiques : ainsi Nîmes à la fin du Sagittaire (22 décembre) est cité page 4, et Chalabre à la fin du Verseau (20 janvier). L'hypothèse avancée ici généralise ce système. On peut retrouver Vouillé, dans l'évocation de la date de 507 après J.-C. où les Francs sont victorieux des Wisigoths, qui est situé à la fin du Bélier. Des termes communs peuvent désigner des communes telles tonnerre, travers, guise, blanc.

Les correspondances planétaires des signes ont été reprises de celles du Sceau de Palaja qui ont une résonnace dans La Vraie Langue Celtique (L'étoile hermétique : Alchimie et Astrologie, Autour de Rennes : une étoile à deux niveaux). De même certaines villes de fin de secteurs se trouvent dans le signe opposé : par exemple Grenoble et Rouen.

Pour repérer les villes dans les secteurs déterminés par les limites des mois astrologiques, la carte de 1886 des éditions Andriveau-Goujon a été utilisée. Elle a pu être connue par l'abbé Henri Boudet.

Carte orographique, hydrographique et routière de la France, comprenant le bassin du Rhin et la région des Alpes occidentales, Andriveau-Goujon, 1886 - gallica.bnf.fr

On pourra rétorquer que Poissons est dans la Balance, Champagne-Mouton dans les Poissons, Lyon dans le Scorpion. Ces contre-exemples ne cachent pas certaines coincidences bienvenues.

Calendrier zodiacal