Saint-Loup-Géanges
France
Saône-et-Loire 71

Nonagones "français"
Les tracés des nonagones "français" déborde sur la Suisse.
Ils ont pour centre un lieu dans les environs de La Ferrandière à Neuillay-les-Bois dans l'Indre.

sur la diagonale du grand nonagone Le Patchalet - Edern

Sur la Dheune, Saint-Loup-Géanges est née de la fusion des communes de Saint-Loup-de-la-Salle et de Géanges intervenue le 1er janvier 2003. Ils formaient deux communautés rurales distinctes qui étaient imposées séparément et qui ressortissaient de seigneuries et bailliages différents, amis appartenaient à la même paroisse.
Géanges sous la forme Jadangos est cité en 787. La première apparition de Saint-Loup dans les archives date de 954 dans un acte du roi Lothaire. Vers 1130, une donation de Foulques de Rion permit la fondation d’une abbaye cistercienne, qui s’établit à Maizières à l’ouest de Saint-Loup, troisième fille de l’abbaye de La Ferté, elle-même première fille de l’abbaye de Cîteaux. Alphonse Delbene (1538 – 1608) échangea la commande de l’abbaye de Hautecombe contre celle de Maizières en 1603.

L’église paroissiale Saint-Roch commença à être construite à la fin du XIIème siècle. Actuellement, le bâti remonte essentiellement au XIVème siècle, marqué par un style de transition entre le roman et le gothique. Un grand Christ en bois sculpté et doré provient de l’ancienne église de l’abbaye de Maizières.