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Pays :
Région
Département :
Ville :
Morangis
France
Marne 51

Nonagones "français"
Les tracés des nonagones "français" déborde sur la Suisse.
Ils ont pour centre un lieu dans les environs de La Ferrandière à Neuillay-les-Bois dans l'Indre.

sur la diagonale du grand nonagone Ban-Saint-martin - Edern

Le village est sans Ă©glise.

Jean-Paul de Barillon, marquis de Branges, seigneur de Mancy, de Morangis et de Chastillon-sur-Marne, maître des requêtes le 8 mai 1657, conseiller au Parlement, intendant de Paris, conseiller d’Etat ordinaire, ambassadeur ordinaire à Cologne en 1677, puis extraordinaire en Angleterre, remplaçant le séduisant Courtin et ne pouvant empêcher l’alliance de Charles II avec les Hollandais qui suivit la prise, par les Français, de la Sicile initiée par le clan Colbert, mourut le 23 juillet 1690.
Son frère, Antoine Barillon de Morangis, seigneur de Louans et de Montigny, fut d’abord conseiller au Parlement, puis maître des requêtes le 12 mai 1672, et successivement intendant à Metz et au pays Messin, et dans les généralités d’Alençon, de Caen et d’Orléans ; il mourut le 18 mai 1686. Il avait épousé Catherine-Marie Boucherat, fille du chancelier remplaçant de Le Tellier. Cette branche des Barillon, dite de Morangis, écartela depuis cette époque ses armes de celles des Boucherat. Morangis fut un membre éminent de la Compagnie du Saint-Sacrement, et promoteur des Hôpitaux généraux. Il devient secrétaire de l’assemblée charitable de la paroisse Saint-Sulpice, qui prolonge l’action de la Compagnie interdite en 1666 par Louis XIV.

Leur neveu, Jean-Jacques de Barillon, seigneur de Louans (actuellement dans l’Essonne) et Chancelier du Roi, après avoir obtenu en 1689 l’érection de Louans en Comté, fait échanger et commuer, en 1693, le nom de Louans en Morangis, du nom du village de Champagne.