Mont Ventoux
France
Vaucluse 84

Nonagones "français"
Les tracés des nonagones "français" déborde sur la Suisse.
Ils ont pour centre un lieu dans les environs de La Ferrandière à Neuillay-les-Bois dans l'Indre.

sur la diagonale du grand nonagone Ferrassières – Sommet en Atlantique

Si plusieurs étymologies ont été données du nom de cette montagne, il trouve un écho dans le fait que le mistral souffle violemment sur ses pentes.

Les Etats du Comtat Venaissin demandèrent, en 1549, le reboisement des forêts du massif décimées pour toutes sortes d’usage (chaux, combustible, charbon de bois, engrais…), en vain. En 1858, de nouvelles plantations commencent à l’initiative des habitants, effort soutenu par la loi de 1860.

La première relation d’une ascension du Mont a été écrite par Pétrarque, peut-être antidatée du 26 avril 1336. Le philosophe Jean Buridan aurait devancé le poète toscan.
Le Ventoux a été l’objet d’étude scientifique depuis le Père Laval en 1711, qui détermine la hauteur et la latitude du massif, le cartographe Langelay qui travaillait pour Cassini et en établit la carte en 1775, Jean-Henri Fabre, né à saint-Léons, qui effectuera 60 ascensions et en décrit la flore en 1865, Martel qui explorer les avens en 1892.
La première ascension du Mont Ventoux au Tour de France cycliste s’est faite en 1951. Le cycliste anglais Simpson y est mort par une chaleur étouffante lors de l’édition de 1967.

La chapelle Sainte-Croix au sommet fut construite au XVème siècle, et l’observatoire météorologique en 1882.