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Pays :
Région
Département :
Ville :
Estissac
France
Aube 10

Nonagones "français"
Les tracés des nonagones "français" déborde sur la Suisse.
Ils ont pour centre un lieu dans les environs de La Ferrandière à Neuillay-les-Bois dans l'Indre.

sur la diagonale du grand nonagone Vieille-Chapelle - Ferrassières

C’est avec, entre autres, Dierrey-Saint-Julien, le lieu présumé de la bataille des Champs Catalauniques entre Attila et les Romains.
Le village fut un fief, de la fin XIVème au début XVIème , de la maison de Courcelles et s’appelait Saint-Liébaut jusqu’au milieu du XVIIIème, lorsque Louis de La Rochefoucauld (1695 – 1783) obtint l’érection de la baronnie de Villemaur-Saint-Liébaut en duché-pairie sous le nom d’Estissac que les La Rochefoucauld avait reçu par mariage au XVIème siècle de la fille (Claude d’Estissac) de Louise de la Béraudière, membre de l’escadron volant de Catherine de Médicis, et de Louis de Madaillan, marquis d’Estissac en Périgord (1507 - 1565) : le Louis d’Estissac de l’étude de Fulcanelli dans ses « Demeures Philosophales », seigneur de Montclar en Périgord (voir Saint-Georges-de-Montclar).

Le Liébaut en question est-il le saint qui fonda l’abbaye de Fleury, devenue Saint-Benoît-sur-Loire ou bien le personnage dont une représentation en fresque orne l’église d’Anzy-le-Duc ? Ce Liébaut-ci fit le pèlerinage de Jérusalem et demanda à Dieu de mourir après sa visite au Mont des Oliviers. Il fut exaucé le soir même.

Devant l’église Saint-Liébaut du village, du XIIIème siècle agrandie au XV et XVIIIème, une plaque commémore l’acte de courage d’un habitant du village qui tua un loup enragé en 1775 mais qui mourut des blessures infligées par l’animal, cela 8 ans après la fin de l’épopée de la Bête du Gévaudan.