Canilhac
France
Lozère 48

Nonagones "français"
Les tracés des nonagones "français" déborde sur la Suisse.
Ils ont pour centre un lieu dans les environs de La Ferrandière à Neuillay-les-Bois dans l'Indre.

sur la diagonale du grand nonagone Ban-Saint-Martin – Rennes-le-Château

fut le siège d’une des huit baronnies du Gévaudan. Une légende raconte qu’Ermengarde fit fructifier les biens de son château en l’absence de son mari Geoffroy, seigneur de Montaigut. Celui-ci de retour voulut se débarrasser de sa femme pour accaparer le trésor qu’elle avait accumulé. Un soir, il se précipite sur elle, mais elle tombe évanouie. Geoffroy croit qu’elle est morte et la cache dans un tombeau dans les sous-sols du château. Il fouille les coffres mais ne trouve rien. Les deux chiens fidèles d’Ermangarde la retrouvent et un serviteur la rapporte dans sa chambre. Ermangarde va voir son mari qui veut en finir une bonne fois, mais les chiens sont plus rapides et déchiquettent Geoffroy dont le corps transporté sur la terrasse est nettoyé par les vautours. Ermangarde prit comme armoiries deux chiens liés ensembles, "duos canes ligati", qui donnèrent le nom de Canilhac, remplaçant l’ancien nom de Montaigut (Guide des Cévennes mystérieuses, Lou Raïol).