Baraigne
France
Aude 11

Nonagones "français"
Les tracés des nonagones "français" déborde sur la Suisse.
Ils ont pour centre un lieu dans les environs de La Ferrandière à Neuillay-les-Bois dans l'Indre.

sur la diagonale du grand nonagone Rennes-le-Château – Edern

Les premières traces du village remontent au IXème siècle, proche de la voie Aquitaine qui reliait Narbonne à Toulouse. La première mention de Varanano date de 1155 pour la construction de son église Sainte-Marie.
Garsende, mère des seigneurs du Mas-Saintes-Puelles et « parfaite » du catharisme, avait ouvert avec sa fille Gaillarde à Baraigne une hospitalité. Elle fit l’éducation religieuse de sa nièce Géraude. Géraude, qui avait épousé Estieu de Roqueville, seigneur de Baraigne.
C’est à Baraigne acquis aux cathares, qu’avant le massacre d’Avignonet en 1242 que les assassins se rejoignirent. Après le crime, tous les cadavres présumés cathares furent exhumés du cimetière et brûlés sur un bûcher dressé sur le terre-plein par les troupes de l’Inquisition
Au XVème, grâce au Pastel, la région prospère. La première construction du château de Baraigne date de cette époque

La plus ancienne mention de l’église Sainte-Marie date de 1207. En 1317, lorsque le pape Jean XXII érigea l’abbaye de Saint-Papoul en évêché, Baraigne fut placé dans le nouveau diocèse.

Le château de Baraigne, type du château « du Pastel », est attribuée à Barthélémy de Buisson (1568-1622) seigneur de Baraigne.