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Pays :
Région
Département :
Ville :
Balleroy
France
Calvados 14

Nonagones "français"
Les tracés des nonagones "français" déborde sur la Suisse.
Ils ont pour centre un lieu dans les environs de La Ferrandière à Neuillay-les-Bois dans l'Indre.

sur la diagonale du grand nonagone Sommet en Manche - Rennes-le-Château et sur la diagonale du petit nonagone Sommet en Manche – Sommet au large de la Rochelle

est connu pour son château construit à la même époque que Cheverny. Jean de Choisy achète la terre de Balleroy en 1600 et c’est son fils Jean de La Cour de Choisy qui fait construire le château selon les plans de Mansart. Il crée une forge qui fermera en 1773. Jacques de Balleroy, son fils, fait un beau mariage avec Madeleine Le Fèvre de Caumartin et devient marquis. Son héritier, Jacques-Claude-Auguste, embrasse la carrière des armes. Colonel, maréchal de camp et lieutenant général des armées du roi, il participe, avec entre autres l’Abbé de Saint Pierre, au fameux club de l’Entresol pour lequel il écrit une « Histoire politique de l’Europe ». Disgrâcié et exilé sur ses terres, il met en valeur son domaine et exploite la mine de charbon de Littry récemment découverte par autorisation royale. Un de ses descendants, Albert de Balleroy, fut député du Calvados et peintre animalier. Il partagea avec Manet un atelier rue Lavoisier. Le château est passé à Malcolm Forbes qui en fit un terrain pour les montgolfières et un musée international des ballons.

L’église paroissiale Saint-Martin possède un tableau de l’Annonciation du XVIIIème siècle : La Vierge reçoit la visite de l’ange Gabriel qui pointe l’index vers le ciel ; dans la brèche ouverte dans le ciel, Dieu le Père envoie le Saint-Esprit darder ses rayons sur le sein de la Vierge.