Partie XIV - Le Serpent rouge   Le voyage de l’âme   Scorpion   
SERPENT ROUGE SCEAU DE PALAJA SCORPION

SCORPION

« Vision céleste pour celui qui se souvient des quatre oeuvres de Em..SIGNOL autour de la ligne du Méridien, au choeur même du sanctuaire d’où rayonne cette source d’amour des uns pour les autres, je pivote sur moi-même passant du regard la rose du P à celle du l’S, puis de l’S au P...et la spirale dans mon esprit devenant comme un poulpe monstrueux expulsant son encre, les ténèbres absorbent la lumière, j’ai le vertige et je porte ma main à ma bouche mordant instinctivement ma paume, peut-être comme OLIER dans son cercueil. Malédiction, je comprends la vérité, IL EST PASSE, mais lui aussi en faisant LE BIEN, ainsi que CELUI de la tombe fleurie. Mais combien ont saccagé la MAISON, ne laissant que des cadavres embaumés et nombres de métaux qu’ils n’avaient pu emporter. Quel étrange mystère recèle le nouveau temple de SALOMON édifié par les enfants de Saint VINCENT. »

"je pivote sur moi-même passant du regard la rose du P à celle du l’S, puis de l’S au P" semble indique la transformation en miroir du plan de Saint Sulpice comme proposé dans Autour de Rennes le Château : Temple de Salomon et église Saint Sulpice, P désignant Pierre et S Sulpice ont leurs statues chacun d'un côté de l'église.

Pendant la Révolution française, on brûla sur la place de la Croix-Rouge les deux statues en bois de saint Pierre et de saint Sulpice, qui étaient placées anciennement dans les niches existantes au-dessus des deux sacristies de l'église, d'un côté et de l'autre. A l'extérieur, et au-dessus de la porte d'entrée dans la sacristie des Mariages, est une statue de Saint Pierre, par Guitton, de 1864. A l'extérieur, la porte d'entrée de la sacristrie des Messes, est surmontée d'une statue en pierre de saint Sulpice assis, par Franceschi, (1864), au-dessus de laquelle est une tribune vitrée, garnie d'un balcon en fer forgé (Charles Hamel, Histoire de l'église Saint Sulpice, 1900 - archive.org).

"S au P" : "saup" signife "je sais" en occitan. Savoir ou Gnose ?

Le gnostique, lui, constate que dans le monde manifesté les modes de fonctionnement sont divers sans que l'Un originel n'en soit affecté. Il sait, quant à lui, qu'il vient de l'Un et qu'il y retourne. Au bout du compte, il apprend ou il sait, il connaît ou reconnaît, que, bien qu'il soit au monde, dans le monde, il n'est pas du monde, ne lui appartient pas, mais qu'il vient, qu'il est d'ailleurs (Henri-Charles Puech, En quête de la gnose, Volume 1, 1978 - books.google.fr).

En faisant le bien

On sait que l'opinion des cathares était précisément que si Dieu avait voulu le Bien, il aurait pu, par grâce, affermir aussi Lucifer de la sorte. Car, sans cette grâce, la liberté n'étant (selon saint Augustin) que l'instrument du mal, Lucifer ne pouvait que pécher. Et ainsi Dieu serait à l'origine du mal, ce qui est absurde. C'est pourquoi ils se refusaient à admettre que Dieu eût créé Lucifer, ou professaient avec les dualistes dits « mitigés », que Lucifer, créature du vrai Dieu, avait été soumis lui-même — c'était là leur grand « secret » — à une tentation émanant d'un mal primordial, incréé et chaotique. Nous avons insisté sur ce problème parce qu'il a fort ému les esprits au moyen âge. Abélard se montre très cathare, sur ce point, quand il soutient dans son Dialogue du Philosophe, du Juif et du Chrétien que la grâce divine eût été nécessaire à Satan pour qu'il ne devînt pas Satan, et que, puisqu'il n'a pas reçu cette grâce, il n'a pas été créé bon... Il y a encore dans le Breviari d'Amor une théorie de la prédestination — plus accentuée, nous semble-t-il, que dans la stricte orthodoxie — , qui était peut-être destinée, dans l'esprit de Matfre Ermengau de Béziers, à neutraliser celle des cathares : "Dieu, selon saint Augustin, et saint Grégoire également, de même qu'il a prédestiné les élus à être sauvés les a prédestinés aussi à mériter leur salut en vivant selon le bien, en faisant le bien, en évitant le mal, de façon à ce qu'ils obtiennent la joie célestielle" (René Nelli, Catharisme et troubadours, Cathares en Languedoc, Volume 3, 1989 - books.google.fr).

En mettant l'accent sur la confession, les Mendiants comme les prêtres des paroisses risquent d'avoir accentué l'aspect de normalisation et de sanction. Toutefois il semble que lors de la confession annuelle les confesseurs s'assuraient des connaissances religieuses des fidèles et leur donnaient des conseils pratiques de morale. Il est toujours difficile d'apprécier la distance entre les prescriptions et leur réception dans la vie des fidèles. Tous ces efforts n'ont pas été vains et les pasteurs du XIIIème siècle ont réussi à rattraper une partie de la distance qui existait entre clercs et laïcs au temps de l'anticléricalisme affiché des seigneurs languedociens. La mentalité religieuse des croyants de 1200 reste imprégnée de merveilleux et croyances proches de la superstition : la présence obsédante de l'Au-delà, la croyance au diable et aux démons, la place importante des miracles. La piété est affaire de gestes, de pratiques et de comportements extérieurs. Les connaissances religieuses se réduisent à la récitation des prières (Pater, Ave) et du Credo. La vie chrétienne est scandée par les sacrements qui accompagnent le croyant de la vie à la mort. On croit fortement à la vertu des oeuvres et plus spécialement aux actions charitables. La catéchèse simple et populaire développée par les franciscains a sûrement fait jaillir de vraies prières, qui viennent du coeur, comme le montre un passage du Breviari d'Amor de Matfre Ermengau de Béziers sur la «prière du coeur», dite dans le silence de sa maison.

"On doit prier le plus possible dans le secret, dans son lit, dans sa maison ou dans un autre lieu secret, car Dieu le Père voit et entend le bien qu'on fait et il donne en retour une bonne récompense pour tout. C'est pourquoi on doit prier en secret, sans montrer son bien en public, comme font les faux hypocrites qui fréquentent les églises, les autels, les pèlerinages, et dans leurs affaires sont ensuite mauvais et déloyaux, faisant peu de bien et et beaucoup de mal. Ainsi le dit le Fils de Dieu dans l'Evangile de saint Matthieu. Sachez donc que Dieu entend aussi bien les oraisons et les exauce quand on prie de bon coeur dans sa chambre en secret que si on le faisait à l'église. Car ne croyez pas que Dieu le Père tout-puissant soit davantage dans les églises que dans d'autres maisons. On peut donc mieux s'approcher de Notre Seigneur en faisant le bien dans sa maison qu'en allant à l'église sans rien faire d'autre." (Georges Passerat, Ordres mendiants et pastorale nouvelle, Persécution du catharisme: XIIe-XIVe siècles, Centre national d'études cathares, 1996 - books.google.fr).

L'exemple de Jeanne Arc n'a pas montré les applications pratiques des relations de parrainage. Pour en éclairer quelques aspects je vais utiliser le registre d'inquisition de Jacques Fournier. Dans sa célèbre étude sur Montaillou, Emmanuel Le Roy Ladurie a plusieurs fois attiré l'attention sur le fait que baptême et mariage figurent les deux pôles du comment se faire des amis que pratique chaque Montalionais. [...] Ainsi est une interprétation bien particulière dictée par un rôle social plutôt inhabituel lié à des intérêts et des manières de se mettre en scène spécifiques que lors de son interrogatoire Pierre Maury a mise dans la bouche du parfait cathare Bélibaste. Bélibaste passe pour avoir dit : "Pierre Maury se fait bien des compères et pourtant il lui sont de peu d'avantage car ces compaternités ne servent rien autre acquérir des amitiés humaines". Dans ce cas précis, Pierre Maury partagea l'interprétation fournie par son ami et n'accepta pas cette fois que l'on présentât ses parrainages comme une amitié humaine déclarant : "avec ce que je gagnai par mon travail je voulais faire du bien aux uns et aux autres car je ne savais pas quelle était la foi qui valait le mieux". Il voyait donc plutôt le parrainage comme un service divin ou selon la formulation du parfait cathare Raimond Authié pour amour de Dieu. Raimond Authié compara le vrai parrainage à une vraie aumône. Car, - disait-il -, pour certaines aumônes on a du mérite et pour d'autres, "be star" [= bonne réputation]... Il disait aussi que pour certains filleuls, on avait du mérite, quand on en faisait, mais pour d'autres "be star" [= bonne réputation]". Si Pierre Maury est ici laissé aller au jeu de la définition simplement remaniée en une autre occasion, il mis fin autrement à une dispute avec Bélibaste commencée de manière presque identique Pierre fit cette fois commencer Bélibaste ainsi : "Vous faites beaucoup de compères et de commères, vous baptisez les enfants et vous dépensez vos biens le faire. Pourtant ce baptême et ces compaternités ne sont bons à rien sinon à faire contracter des amitiés entre les hommes". Le protocole continue : "Je lui répondis que mes biens je les avais gagnés que je voulais les dépenser comme cela et que je ne cesserais pas de le faire pour lui ni pour un autre car ainsi j'acquérais l'amitié de beaucoup de personnes. Je lui dis : il faut faire le bien à tout le monde car on ne sait pas qui est bon ou qui est mauvais et que avais entendu dire on devait faire du bien importe quel homme car il était bon est-à-dire hérétique ou croyant, on en aurait du mérite [céleste] et s'il était mauvais on en aurait des remerciements". Alors que Bélibaste reprenait à nouveau l'argument de homme de Dieu orienté vers l'au-delà, Maury persistait cette fois dans sa vision intra-mondaine de la compaternité. Tous deux montrèrent clairement cette fois les intérêts et les pratiques qui se cachaient derrière chacune de ces interprétations (Bernhard Jussen, Le parrainage à la fin du Moyen Âge : savoir public, attentes théologiques et usages sociaux, traduit par Florence Chaix et Gerald Chaix, In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 47e année, N. 2, 1992 - www.persee.fr).

Pierre Maury et Pierre de Gaillac étaient en fait deux véritables croyants cathares, qui avaient bien assimilé l'enseignement religieux des Bons Hommes. Pierre Maury, de Montaillou, n'est qu'un berger – c'est un grand berger, de la grande transhumance transpyrénéenne –, mais lorsqu'il dépose enfin devant Jacques Fournier, en 1323, c'est au terme d'une vie errante passée dans la familiarité et la compagnie des prédicateurs clandestins (René Nelli, Anne Brenon, Ecritures cathares, 2011 - books.google.fr).

Les mains ouvertes ou paumes apparentes.

Les 35 cm de BALANCE sont la mesure habituelle d'un "pied" (macédonien, phénicien). La paume est aussi une mesure de longueur.

Deux croix languedociennes — et deux seulement, à ma connaissance — offrent quelque analogie avec les Christ bogomiles : elles représentent non le Crucifié traditionnel, mais un personnage barbu qui étend les bras — en les coudant nettement et en montrant ses mains ouvertes — trop larges par rapport au reste du corps, comme sur les stèles bogomiles — et qui se tient adossé au monument, les jambes écartées ou à peu près parallèles, comme un homme vivant. L'une de ces croix se trouvait aux Cassés (Aude), encastrée dans le mur du vieux cimetière : elle vient malheureusement d'être volée (1963). L'autre est conservée à Baraigne (Aude) (René Nelli, Le Musée du catharisme, 1966 - books.google.fr).

Représentations bogomiles - www.melmothia.net, Bertrand, Le bogomilisme

L'idée est souvent évoquée que les bogomiles seraient à l'origine du mouvement cathare. La doctrine bogomile, apparue à la fin du Xème siècle en Bulgarie, se serait étendue chez les serbes et les moines de Constantinople, puis en Asie mineure, avant de gagner l'Europe sous des formes différentes. Cet argument prend notamment sa source dans la proximité théologique qui peut exister entre les deux mouvements, et leur influence commune par le gnosticisme et le manichéisme. [...] Du point de vue de l'histoire religieuse, il est difficile d'établir une généalogie claire des relations entre Bogomiles et Cathares. Mais, du point de vue de l'histoire géopolitique et militaire, ces relations ont constitué une composante importante de l'histoire de la chrétienté médiévale. Le bogomilisme et le catharisme sont deux mouvements religieux proches, qui ont été déclarés hérétiques par l'Eglise catholique romaine, et vigoureusement combattus par elle (croisades). Dans le même temps, Rome était également en opposition farouche à Byzance, en particulier depuis le grand schisme de 1054. Une solidarité de fait s'est donc constituée entre Cathares et Bogomiles, ces derniers se trouvant par ailleurs dans la sphère d'influence byzantine.

La main devant la bouche rappelle l'injonction du silence d'Harpocrate, la paume droite et le dos de la main gauche, le sceau de l'hermétisme. [...] La main droite présente la paume, conventionnellement réputée « ronde », et la main gauche, le dos (carré), claire allusion à l'Hermès hellénistique décrit comme rond et carré (Stroggylos kai Tetragônos). (Cahiers d'études cathares, Volume 41,Numéros 126 à 128, 1990 - books.google.fr).

La paume et le dos de la main sont le symbole du silence d'Harpocrate, du sceau hermétique.

La paume peut être une référence aux armes que s'était données Alphonse Jacques Mahul, l'auteur de nombreuses études historiques dont le Cartulaire des communes de l'Aude, préfet de la Haute-Garonne, député de l'Aude, né à Carcassonne le 31 juillet 1795, mort le 25 août 1871 dans sa terre de Villardonnel : "Ecu :— - lier à la main appaumée de carnation, dirigée vers un œil de même, le tout sommé d'un soleil levant sur une terrasse de sinople. - Tenons: — - Deux mores. - Devise : — - Sarracenus prole ; christianus fide." La mai et l'oeil sont un rébus occitan car ma c'est la main ei ulh c'est l'oeil. Mahul pensait que son nom était d'origine arabe (Archives de la Société des collectionneurs d'ex-libris et de reliures historiques, Volumes 7 à 8, 1900 - books.google.fr, Alphonse Jacques Mahul, Cartulaire et archives des communes de l'ancien diocèse et de l'arrondissement administratif de Carcassonne, Volume 6, Numéro 2, 1857-1882 - books.google.fr).

Le poulpe

Le Démiurge, souvent appelé des noms hébraïques Ialdabaôth («fils du chaos») ou Sabaôth (« Dieu des armées»), pour montrer qu'il n'est autre que le dieu de la genèse, est volontiers représenté comme un être démoniaque, qui a ravi un rayon, une étincelle au Père des Origines afin cl'en animer la «Jémsalem terrestre», la matière. Le Démiurge est représenté par un être monstrueux : un poulpe qui enserre le monde, un reptile à tête de lion, de cochon ou d'âne. C'est lui qui selon diverses sectes (les Docètes par exemple), tourmente les pauvres âmes en les faisant passer par d'incessantes transmigrations (Serge Hutin, Les gnostiques, , p. 31) (Christophe Chabbert, Malcolm de Chazal, l'homme des genèses: de la recherche des origines à la découverte de l'avenir perdu, 2001 - books.google.fr).

Le choeur de Saint Sulpice, c'est aussi le choeur du Sceau de Palaja, Palaja même.

Olier et l'horreur de la chair

L'ascétisme orthodoxe se rapproche aussi beaucoup du Manichéisme par sa dénonciation de la chair, qu'il traite comme l'antagoniste et l'ennemie de l'âme. Saint François d'Assise écrit: «Beaucoup d'hommes, quand ils pêchent ou reçoivent quelque dommage, blâment leur ennemi ou leur voisin. Il ne devrait pas en être ainsi, car chacun a son ennemi en son pouvoir : c'est le corps qui est l'instrument de tout péché. Béni est le serviteur qui retient captif cet ennemi et se met en garde contre ses atteintes ; quand il agit de la sorte, aucun autre ennemi visible ne peut l'atteindre.» Dans un autre passage, saint François déclare que son corps est son ennemi le plus cruel et qu'il l'abandonnerait volontiers au démon. Suivant le dominicain Tauler, le chef des mystiques allemands au XVIe siècle, l'homme, en lui-même, n'est qu'un amas d'impuretés, un être né du mal et de la matière corrompue digne seulement d'inspirer l'horreur; et cette opinion était pleinement partagée par ceux mêmes des disciples de Tauler qui débordaient le plus de charité et d'amour.

Jean-Jacques Olier, le fondateur du grand séminaire théologique de Saint-Sulpice, va aussi loin que Manès ou Bouddha dans son horreur de la chair comme source du péché. Il s'exprime ainsi dans son Catéchisme du Chrétien pour la vie intérieure, qui, je crois, est encore en usage à Saint-Sulpice : « Je ne m'étonne plus si vous dites qu'il faut haïr sa chair, que l'on doit avoir horreur de soi-même et que l'homme, dans son état actuel, doit être maudit... En vérité, il n'y a aucune sorte de maux et de malheurs qui ne doivent tomber sur lui à cause de sa chair. Avec de pareilles doctrines, c'est vraiment disputer sur les mots que de se demander s'il faut appeler Dieu ou Satan le Créateur d'un être aussi abominable que l'homme (Henry Charles Lea, Histoire de l'inquisition au moyen age: Origines et procédure de l'inquisition, 1887 - books.google.fr).

Bérulle rapportait l'homme au « limon » où il voyait le « mur mitoyen entre le néant et l'homme (Grandeur de Jésus IV) Finalement le « néant » ainsi professé est un synonyme de l'humilité ou de l'esprit d'enfance chez Olier (Gustave Martelet, Deux mille ans d'Église en question: Du schisme d'Occident à Vatican II, Volume 3, 1984 - books.google.fr).

Le lieu : Villerouge-Termenès

Pour celui qui fait le bien, est-ce un bonhomme, un cathare, comme Bélibaste, le dernier d'entre eux, qui est né à Cubières-sur-Cinoble, à l'entrée des gorges de Galamus, et est mort à Villerouge-Termenès, communes empiétant toutes deux sur le secteur du Scorpion, Cubières aussi sur le Sagittaire et Villerouge aussi sur la Balance, au début et à la fin du signe du Scorpion dans le sens rétrograde ?

On aurait pu le brûler à Cubières même, sur les ruines de sa maison ce fils de perdition. Mais à Villerouge, l'exemple était plus fort. S'il n'avait pas dû être brûlé comme hérétique impénitent, ce Bélibaste aurait de toutes manières été pendu au gibet seigneurial comme meurtrier, puisqu'autrefois, il avait tué à Monseigneur un berger de la communauté de Villerouge (Anne Brenon, L'hiver du catharisme: Les cites Sarrasines (1312-13240 : le roman vrai de Piere Maury de Montaillou, Volume 3, 2003 - books.google.fr).